Cap ou pas cap ?

Continuer ? Renoncer ? Prendre des décisions difficiles est souvent une source de tensions pour nous et nous empêche bien souvent de nous réaliser. Dans le 2e tome de Suivre les vagues, roman de développement personnel, Anaïs W. nous invite à ne plus avoir peur de nos décisions et à oser nous affirmer. Changer de cap et assumer ses choix seraient à la portée de tous. Laissez-moi vous expliquer comment.

Mais avant, vous prendrez bien une petite chouquette préparée avec amour par @evelesuisse ?

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De la douceur et du croquant, le mélange idéal pour prendre de sages décisions.

Le cheminement personnel est un travail de longue haleine pour celui ou celle qui tente de se lancer à sa poursuite. J’ai pris plaisir à lire ce second tome dont la continuité a été travaillée avec soin. En effet, l’autrice nous rappelle les évènements passés, comme une introduction pour les personnes n’ayant pas lu ce premier tome. Comme elle vous le confirmera, les deux tomes peuvent se lire indépendamment. Cependant, il serait dommage de ne pas lire les deux car cela risquerait de briser la volonté de montrer la réelle évolution des personnages.

Dans le premier tome, il était question d’exil. Ici, je dirai qu’il s’agit davantage de liberté. Retrouvée ou non, celle-ci se matérialise par des prises de décisions importantes qui nous concernent tous et dont nous pouvons nous sentir coupables. Coupables de ne pas correspondre à des standards, des pseudos normes. Coupables de ne pas assez se préoccuper des autres au détriment de notre propre bien-être.
L’autrice casse les codes de l’égoïsme en transformant cette notion assez rigide et mal vue, pour nous offrir un témoignage fictionnel (mais très réaliste), prouvant les avantages et les inconvénients de se concentrer sur soi. Prendre en compte les autres, leurs ressentis, mais également (et surtout ?) se concentrer sur nos propres limites, nous ferait avancer en étant plus ancrés dans le monde.

Prenez un instant et dites-moi en commentaire quelle est la décision la plus délicate que vous ayez dû prendre dernièrement ?

Eléa, l’héroïne de ces romans, adopte sous la plume sensible de l’autrice, un caractère mi-fragile, mi-affirmé. Cette ambiguïté réside dans le fait qu’il n’est pas facile d’exposer au monde sa rage, sa passion, son courage, sa sincérité et son assurance.
Dans son périple, à la recherche de sa vraie nature, elle sera confrontée plus d’une fois à ses doutes, ses peurs les plus profondes, celles qui ont du mal à cicatriser. Sa force de caractère lui permettra de réaliser qu’elle est capable de prendre soin d’elle, d’agir. Nous sommes donc les témoins privilégiés de l’évolution positive d’Eléa.

La vie et ses aléas sont comme le mouvement perpétuel de l’océan : on ne peut pas aller contre. À nous de choisir quelles vagues nous souhaitons suivre.

Dans cet ouvrage, nous comprenons que suivre son intuition, est un peu comme suivre les vagues. Celles qui guident notre lecture et rythment ce roman nous offrent tantôt des sueurs froides, tantôt de profondes minutes d’introspection personnelle.
J’ai compris en lisant ce roman, qu’il me faut accueillir les émotions qui surgissent sans crier gare. Pour ce faire, nos phases de colères peuvent jouer le rôle des aiguilles de notre boussole interne, nous rappelant précisément les sujets sensibles auxquels nous devons être attentifs. Une fois cette cible identifiée (nous-même), il est alors plus facile de se détacher des autres et de se concentrer sur notre propre blocage. Eléa et Farès nous enseignent alors que pour se retrouver, la distance et la colère sont parfois de précieuses alliées.

Peut-on se risquer à parler d’amour ou ne serait-ce qu’à y songer ? En trame de fond se joue une véritable histoire d’amour avec l’honnêteté de n’être pas toute rose. Ses hauts et ses bats, proches de ce que nous pouvons vivre, apportent à ses lecteurs la sensation d’être compris mais surtout d’être rassurés sur les attitudes que l’on peut avoir et sur la fin heureuse qui se dessine. Même si Farès m’a beaucoup énervé dans ce roman, je comprends ses réactions, ses frustrations et ses moments de rages. Ses plaies béantes demandent une très forte attention qui ne peuvent être comblées sans la douceur d’Eléa. Ce duo nous prouve que l’amour n’est pas définitivement achevé et qu’il faut sans cesse le cultiver. En effet, la peur de la solitude et celle d’être abandonné sont des puissants freins que nous tentons de combattre.

Anaïs tenait à vous dire ceci…
Je souhaite avant tout que « Suivre les vagues » soit une bouffée d’air frais dans votre quotidien ! Si cette lecture peut aussi vous encourager à cultiver votre bonheur, alors cela sera un plus !

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[Service de presse]
Suivre les vagues, tome 2 : au gré du vent, roman feel-good de développement personnel écrit et auto-publié en septembre 2019 par la romancière Anaïs W.
Son roman compte 289 pages.
Vous le trouverez sur le site web de l’autrice ainsi que sur Amazon en version kindle et brochée (liens en haut de ma chronique).

Bonne nouvelle une PROMOTION est en cours !
Du 28 au 3 novembre : 0,99€ au lieu de 4,99€ sur le tome 1 et 2 !,

N’hésitez pas à partager vos ressentis et me dire si vous avez déjà lu ce roman !

Merci Anaïs de m’avoir permis de découvrir la suite du cheminement personnel d’Eléa.

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