A quoi ressemble l’océan derrière la digue ?

Comme vous l’avez découvert dans l’interview d’Isabel Komorebi, son style rime avec douceur, poésie, mélancolie et contemplation. C’est avec des touches d’imaginaire et de science-fiction, qu’elle nous propose sa 3e romance, Le jour de ton arrivée, mêlant fraîcheur, destinée planétaire tragique et amour. Un roman-conte profondément humain qui interroge notre vision sur le devenir de notre terre et de l’être. Sommes-nous encore capables de nous en sortir, de nous aimer ?

le jour de ton arrivée isabel komorebi

Une poésie romantique digne d’un conte des temps moderne

🎼 Mettez-vous dans l’ambiance en écoutant Hostiles, de Max Richter

Je commence à écouter Hostiles, les mots « fantastique » et « science-fiction » sont les bons termes pour désigner l’ambiance sombre et mystérieuse qui s’ouvre à moi. Quelle bonne idée de nous proposer une bande son pour accompagner un livre car je trouve que cela favorise notre immersion dans l’époque où l’auteur souhaite nous plonger.

Un monde où l’homme est « vide de cœur »…

Un sujet aussi frappant que celui-ci a guidé l’écriture de la 3e romance de l’autrice qui nourrit une passion pour l’imaginaire et la mélancolie. A travers ce dernier, nous découvrons, dans une ambiance glacière, annonçant la fin d’un monde qui se meurt, la rencontre entre Lui et Elle. Deux êtres que tout oppose mais dont la singularité et la détermination sont fortes et axées vers un monde meilleur. L’espoir n’est pas totalement mort et j’aime à penser que l’homme, de manière générale, puisse encore ressentir cela et chercher des solutions pour améliorer son quotidien. La solidarité peut être un des choix possibles.

Ici, deux êtres évoluent dans un environnement où les émotions sont comme gelées par trop égocentrisme et d’indifférence.
Pourtant, quelque part dans le monde, vivent des êtres dotées d’une intelligence supérieure, favorisant leur adaptabilité et leur créativité au niveau des solutions à envisager pour un avenir certain et plus joyeux. Des êtres à l’écoute surtout. L’écoute devenant une précieuse qualité de nos jours où la performance, la compétition et la supériorité règnent dans les couloirs de nos entreprises et des écoles. Ainsi, Elle, lui propose de partir loin, pendant qu’il est encore temps.

Et toi, si tu avais été à la place de Logan (Lui), serait-tu parti(e) ?

Sachant que la terre se meurt, que plus rien n’existera bientôt, que seul l’amour peut sauver l’humanité ? Autant de questions qui trouvent leurs réponses dans cette fabuleuse romance.

Un roman-conte saisissant

Comme nous le suggère l’autrice en début d’ouvrage, ce roman emprunte au conte ses qualités de transmission, nous permettant de mieux appréhender les changements, les difficultés de l’existence et de dompter avec plus de facilité, nos angoisses. Ainsi, Quand Lui, ne se sent pas à sa place parmi la foule qui ère sans but précis, Elle seule peut, à travers l’amour qu’elle lui porte, lui faire espérer un avenir plus radieux.

J’ai beaucoup aimé la poésie qui se dégage de la plume de l’autrice. Les mots et expressions sont choisis avec soin et précision mais surtout avec musicalité. C’est pourquoi, pour davantage nous plonger dans le contexte cosmique de ce roman, Isabel nous invite à écouter en musique de fond, l’un des album de Max Richter.

La structure du roman nous offre des descriptions de scènes variées tantôt romantiques, tantôt apocalyptiques. J’ai apprécié le rythme proposé par l’autrice où une certaine forme de tension dicte les choix de chacun mais où leur liberté est respectée. En effet, à aucun moment, les personnages sont forcées de faire une tâche ou de prendre une décision radicale. Au contraire, la liberté de chacun prime sur le confort collectif, au regard des objectifs personnels poursuivis par chacun.

Une nostalgie à cœur ouvert

J’ai beaucoup aimé cette notion de « secret » qui plane au-dessus de la tête du lecteur. J’aime être mise dans la confidence du devenir de la terre.

De plus, j’ai adoré la façon dont l’autrice nous dépeint un futur où la nostalgie du passé tient le rôle principal. Notre capacité à nous tourner vers un futur que nous n’avons pas choisi, effondre les rêves projetés de chacun. La place à l’originalité n’est plus, seule demeure de vagues possibilités d’un futur monochrome.

Il coulait de la bouche de mon père touts les palettes des émotions humaines.

Sommes-nous en droit de nous interroger sur l’existence de l’amour ? Isabel, elle, ose s’y préoccuper. Elle nous invite à en faire de même et à ne pas se laisser diriger par la peur de l’autre, qu’elle naisse de notre peur de l’inconnu ou de celle de notre manque de curiosité.
Sommes-nous en droit de nous interroger sur l’écologie et le sort que nous nous préparons avec tant d’acharnement technologique ? Voilà une question placée comme l’un des sujets qu’abordent ce roman, avec respect et distance. Ce roman m’a sensibilisée davantage quant à mes choix écologiques mais également sur mes choix en matière de construction d’un vivre-mieux.

Ces romans ont quelque chose de particulier qui m’attire sans que je puisse clairement définir de quoi il s’agit. Je sais seulement qu’ils m’apaisent, qu’ils provoquent en moi une espèce de calme intérieur. Ils ont quelque chose de vrai, d’authentique. Le romantisme et la poésie qui s’en échappent m’aide à prendre conscience du moment présent.

J’ai l’impression de lire un essai philosophique déguisé en conte, ce que je trouve particulièrement atypique et intriguant. Les mots me manquent pour vous décrire davantage ce roman pour lequel, seule comptera votre ressenti.

Mais comme je n’aime pas vous quitter ainsi, je vous propose le mot d’Isabel, créé spécialement pour vous…

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Je lis des auto éditésAuto-publié le 17 octobre 2019
Romance / 207 pages
Format e-book (2,99€) et broché (9,90€)
Disponible sur Kobo, Amazon et abonnement Kindle, Ibooks et Google Play

 

Et toi, si tu avais été à la place de Logan (Lui), serait-tu parti(e) ?

Merci à Isabel pour sa collaboration lors de notre interview vidéo ainsi que pour bousculer la vision que j’ai de notre monde. Merci pour la douceur de ta plume.

Envie d’élargir vos horizons ?

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L’alexandrin des temps modernes

Je lis des auto éditéslogo-d

Écueils de poésies, du poète Alexandre Majorczyk, 122 pages officielles, auto-édité en 2018. Son écueils est disponible en version brochée sur Amazon.

 

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En vers et en rythme : Alexandre vous invite dans son univers poétique, entre amour et mélancolie, joie et tristesse. Il ne vous reste plus qu’à découvrir sa poésie parfois brute, parfois tendre, traduction d’une sincérité touchante, à son image.

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Des rimes enchantent mon cœur et lui impulsent leurs douces mélodies. Tantôt passionnelles, tantôt dépressives, l’auteur ou devrai-je dire le poète, comme je le nommerai ici, m’a fait voyager à travers ses mots et ses émotions. Comme un tableau de natures mortes, Alexandre m’a emmenée au fin fond de mon imaginaire, pour me faire repenser le monde qui m’entoure.

Je suis ravie de renouer avec la poésie, moi qui n’est pas l’habitude d’en lire, du moins plus vraiment depuis les bancs de l’école. Alexandre a su me refamiliariser avec cet art, base de la littérature selon moi, car il permet créativité, rythmique et mélodie, comme un avant-propos à la prose. Une façon différente de poser son regard sur le monde, qui m’interpelle de par sa forme atypique.

J’y relèvent des sonorités courtes, percutantes, floues par endroit, qui m’ont apportées une immense joie et beaucoup d’étonnements. Parfois, je me suis sentie concernée par différents sujets (amour, projet personnel, maladie…) que le mélomane aborde. A d’autres moments, ma place de simple spectatrice m’a pleinement satisfaite tant les mots choisis par ce dernier ne mettent pas à l’écart le lecteur. Au contraire, ils nous invitent à entrer dans la danse, c’est ce que j’ai le plus apprécié durant ma lecture qui s’est faite en plusieurs séquences.
Comment lire un écueil entier de poésies en une seule fois ? Y arrivez-vous ? Vous êtes-vous déjà posé la question ? Pour ma part, il m’a fallu plusieurs moments (sélectionnés au gré de mon humeur) pour découvrir l’univers d’Alexandre.

Il partage avec nous ses interrogations, ce qui fait sens ou non pour lui, nous livre sans tabous ses ressentis et, je me surprends à en faire de même, à être davantage attentive aux sons, au touché, à tous ces petits riens qui font un tout. Je vis des moments de profondes réflexions personnelles et j’alterne avec des phases de méditations ! Qui a dit que la poésie devait être plate ?

Tes yeux écarquillés

Grimacent à n’en plus finir

Ferme les maintenant

Touche cet instant

J’ai été heurtée par la solitude qui se dégage des vers posés par Alexandre. L’incompréhension parfois du monde qui nous entoure dans sa globalité, dans son fonctionnement et les personnalités qui le peuplent.
Allant de la rage, à l’effondrement en passant par la compassion, c’est un panel d’émotions qui abrites ces 122 pages.
Au-delà de ce panel se dresse en toile de fond, la notion de rêve et d’avenir. Une peur projetée par le poète sur les lecteurs, qui laisse mon regard suspendu dans le vide tant je sens le gouffre de la colère tâcher d’encre noire ces écueils…

Alexandre Majorczyk - Ecueils de poésies.jpg

Carpaccio de bœuf et sa salade d’herbe à la fleur d’oranger et son verre de vin rosé pour accompagner la délicatesse de ces poèmes…

J’ai navigué entre amertume, bonheur, coup de foudre et mort effroyable et cruelle de ce couple dont l’auteur nous conte l’histoire en fin de livre. Cela commence par une rencontre, qui peut-être ne devait pas se faire… Un périple aux prix de deux vie pour épancher un amour sincère.C’est tout simplement beau à lire et fluide, comme l’ensemble des poèmes d’ailleurs.


Inévitablement, je suis touchée par la prouesse technique de coordonner l’ensemble de ses pensées et de les traduire en vers et en rimes. Pas une seule fois, je n’ai pas apprécié me plonger dans ces poèmes.
Ce qui me fascine est la simplicité avec laquelle Alexandre sait nous transporter, il nous fait croire en la facilité illusoire d’écrire des poèmes. Or, derrière ce faux-semblant, je perçois un travail de recherches de traduction d’émotions authentiques, et pour cela, je ne peux que vous inciter à regarder, ne serait-ce qu’un instant, dans la même direction que lui, pour le plaisir de partager des moments de complicité, de doute, de peur, de joie.

Le mot d’Alexandre
Soyez convives de mes écueils
Remplis de vers en mille-feuille
Enrobés d’un humble ramage.
J’aimerais vous en faire le partage.
J’y ai nacré mes émotions
D’assonances caramélisées
D’une cassonade ensablée
De passion d’allitérations
J’ai mijoté des jeux de sons
Dès jeux de mots assaisonnés
De cerfeuil à l’arôme secret.
Je vous lance cette invitation :
Asseyez-vous dans ce fauteuil
Feuilletez, feuilletez ce recueil
Garnies de rimes à chaque étage.
Perdez vous au fil de ses pages !
Amicalement,
Alexandre Majorczyk
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L’addition, s’il vous plaît

Ecueils de poésies - Alexandre Majorczyk

Et vous l’avez-vous lu ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Êtes-vous sensibles à la poésie ?

Retrouvez toutes mes chroniques gourmandes dans les rubriques « Livres par auteurs » et « Livres par titres » !

Je remercie Alexandre pour sa bienveillance, sa présence discrète et sincère, sa gentillesse et ses confessions.

L’amour mystérieux est courbé…

Je lis des auto éditéslogo-dLa Contemplation des Lignes, de l’autrice Isabel Komorebi, 248 pages officielles, auto-édité en mars 2019. Son roman est disponible en version numérique et en version brochée sur Amazon.

Je vous conseille d’aller faire un tour sur son site web pour vous tenir informés de son actualité : cliquez !

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En résumé, le magnifique Moodboard d’Isabel !

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©Isabel Komorebi

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Le vieux Max m’a toujours soutenu que rien n’arrivait jamais par hasard. Que tout avait un but, que tout avait un sens. Que, même si notre vie ne nous appartenait pas, il y avait un chemin qui était tracé devant nous, telle une ligne, parfois droite, parfois arquée, qui devait nous mener quelque part, là où est notre place. Là où on nous attend.
Mon impression globale sur le roman d’Isabel est un mélange d’étonnement, d’égarement, de mystère, de réflexion personnelle et d’émerveillement. Je suis littéralement troublée par ma lecture qui me laisse presque sans voix, tant j’ai apprécié lire, observer, me jouer des lignes qu’elle décrit avec force, courage, persévérance, sincérité, amertume et passion.
Je suis surprise par l’idée de développer de façon architecturale presque, les paysages qui nous entourent mais également ses émotions. En effet, l’autrice se place telle une dessinatrice, une architecte à la fois de l’amour mais également de notre projet de vie. Cette idée de lignes verticales et horizontales vient presque à nous obséder tant sa démarche est troublante et percutante ! Je n’ai jamais lu pareil roman auparavant.
C’est vrai, tout ce que nous rencontrons, créons,  n’est pas toujours droit. Chaque imprévu est déformé par ces courbes, ces lignes, entendues au sens d’évènements, de rencontres qui bouleversent notre quotidien.
Un mot vient peindre et résumer l’ambiance atypique de ce roman : contemplation. J’y lie une forme d’adoration de mise à nu, de sensibilité, d’admiration envers autrui. Un abandon presque total de nos craintes.
Au fil de ma lecture, je découvre deux protagonistes à la fois complémentaires mais si opposés ! Cet étrange sentiment que deux êtres sont faits pour être ensemble malgré leur décalage ne m’a pas lâchée durant ma lecture. Je ne peux que me demander d’où vient la colère du garçon (Ethan) et la délicatesse de la fille (Lily). J’émets un seul bémol, je n’ai pas accroché au fait que soit redondant la mention du mauvais caractère d’Ethan. Mais je ne peux nier le sentiment plus que réel qui m’habite quand je pense à ce garçon et cette fille, qui par des chemins tortueux, vont se rapprocher.
Isabel Komorebi - La contemplation des lignes.jpg

Une romance qui s’accompagne d’une pizza parma-basilique, maison bien sûr !

J’aime beaucoup l’intrigue qui se joue à travers les histoires des deux protagonistes. Des allusions à la colère ou encore à la peine et à la peur sont présentées. Un vrai mystère s’installe et me pousse à poursuivre page après page, mes découvertes. J’ai hâte de découvrir le dénouement de cette histoire.
La façon dont les corps se désirent mais s’interdisent de vivre pleinement un amour pourtant réciproque, m’interpelle. Cette contemplation des âmes relève presque du religieux, de l’adoration sacrée. Une sorte de dévotion à l’autre. L’autrice dépeint un véritable coup de foudre qui relève du domaine du mystique.
Je trouve remarquable l’enchaînement des deux points de vue dans les chapitres courts et intenses : celui d’Ethan et celui de Lily. C’est une prouesse que de passer de l’un à l’autre sans en perturber la lecture et embrouiller le lecteur. L’autrice nous invite dans sa tête et parvient à transmettre les émotions que les deux personnages principaux ressentent chacun à tour de rôle durant le même instant.
Beaucoup de mystères sont présents au sein de ma lecture qui me pousse à m’interroger sur plusieurs points. Que s’est-il passé ce fameux jour pour Ethan ? D’où viennent les horribles cicatrices de Lily ? Que représentent ces lignes qui nous hantent ?
Au-delà de la recherche de l’amour vrai, ce livre traite aussi des relations entre frères. Un savant mélange entre protection et rancœur. Mais également de la mémoire : intangible, infaillible. L’un se souvient de cet amour pour cette femme, l’autre ne se souvient de rien…
Ce roman parle aussi du temps qui défile et qu’on ne maîtrise pas. Entre passé et présent, le futur est mis à mal et sans cesse redessiné. La notion du temps s’efface pour laisser place à un souvenir à la fois douloureux mais salvateur. Une survie pour une vie. Un passé en commun qu’on ne peut mesurer qualitativement ou quantitativement.
Pour alléger ce texte lourd de sens, l’autrice a judicieusement glissé le symbole de la liberté à travers les chevaux, la passion d’Ethan.
Peut être que mes mots vous paraissent flous, mais ce sont les sentiments que je tire de ma lecture. Je ne vois qu’un horizon fait de lignes droites pourtant l’autrice sait nous emmener au-delà du réel, à la frontière du concret.
Les émotions décrites sont à la fois courtes, intenses, douces et brutales. Comme une expiration trop légère ou une inspiration trop profonde.
Ce roman me trouble. J’ai l’impression qu’une partie de sa compréhension m’échappe.  C’est indéniablement ce qui en fait sa force !

 

Le mot d’Isabel
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©Isabel Komorebi

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L’addition, s’il vous plaît

La contemplation des lignes- Isabel Komorebi.png

Et vous l’avez-vous lu ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Que pensez-vous de cette étrangeté de l’amour ?

Retrouvez toutes mes chroniques gourmandes dans les rubriques « Livres par auteurs » et « Livres par titres » !

Je remercie l’autrice pour sa patience, sa gentillesse et son originalité qui me permet d’ajouter une touche de fantaisie dans la présentation de ma chronique.

PAL – Juin 2019

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Hellow mes petits gourmands 🙂 Comment allez-vous ?

Je tiens à vous informer que je n’écrirai pas mon bilan du mois de mai. Mais, pour me rattraper, je vous livrerai d’autres informations croustillantes me concernant très bientôt 🙂

Aujourd’hui je vous fais découvrir ma PAL du mois de juin.

Au menu

  • L’inconnue de l’équation Xavier MASSÉ
  • Écueil de poésie – Alexandre MAJORCZYK
  • La fragilité des rêves – Dimitri DEMONT (partenaire gourmand)
  • L’étrange affaire Laprades – Jean JOLLY
  • La contemplation des lignes –  Isabel KOMOREBI
  • Suivre les vagues – Tome 1 – Anaïs W.

(Oui je sais, les livres ne sont pas classés par ordre alphabétique, c’est normal ! Comme beaucoup d’autres lecteurs, j’organise ma petite popote au gré de mes envies et des arrivées gourmandes)

Pour ce mois de juin, je me laisse séduire par un recueil de poésie. Toujours un soupçon de romance avec en toile de fond le dernier thriller de Xavier Massé et un policier. On ne change pas des genres littéraires qui gagnent à me séduire !^^

Vous retrouverez prochainement toutes mes chroniques en cliquant sur les titres des ouvrages dans ma PAL rubrique « Inventaire livresque ». Elles sont également disponibles dans mon bar culturel en cliquant sur les rubriques « Livres par titres » et « Livres par auteurs ».

Bonne dégustation !

Et vous, que lisez-vous ?

Mon 7e partenaire gourmand, rencontre avec un audacieux rêveur…

Hellow mes petits gourmands 🙂 j’espère que vous allez bien ?

Et si nous parlions rêves aujourd’hui en compagnie du nouveau membre de l’équipe de mes partenaires gourmands : l’Auteur Dimitri DEMONT ?

StoryStar1557986808042Auteur indépendant auto-publié sur Librinova et deux fois finaliste du Prix des Étoiles Librinova – 20 Minutes 2017 et 2018, Dimitri DEMONT est un rêveur à toute heure et un audacieux entrepreneur. C’est la force tranquille qui vous propose deux livres : un premier roman de 213 pages – Le ciel n’envahira pas la mer – et un second livre – La fragilité des rêves – que je me ferais une joie de chroniquer prochainement. Le sujet de sa nouvelle de 222 pages raconte les destins croisés de trois femmes en quête de bonheur. Entre désillusions et joies, elles devront affronter des tempêtes et faire des choix. Ses livres sont disponibles sur Amazon, la Fnac, Cultura et chez votre libraire préféré en version électronique à seulement 3.99€ ou en version brochée (respectivement) à 12.90€ et 13.90€.

Vous serez au bon endroit pour en savoir plus sur l’auteur et sur ses livres en cliquant dans la rubrique  « Biographies des Auteurs ». Vous pouvez aussi y avoir accès en cliquant sur son nom, dans la rubrique « Liste des partenaires ».

Pour le suivre c’est par ici

adresse mail pro dimitridemont@gmail.com 

Instagram @dimdemont – #dimitridimont

Facebook Dimitri Demont / @dimitridemontauteur

Son site web : dimitridemont.com

Merci à Dimitri de rejoindre l’équipe de mes partenaires gourmands !

Humm, ça sent la chronique gourmande ça !